Exposition de Peintures Haïtiennes

Le vernissage de l'exposition des Peintres Haïtiens s'est déroulé vendredi 3 décembre à 18h sous la neige où seuls des habitants courageux d'Arras en Lavedan ont pu venir...

Session de rattrapage mercredi 29 décembre à 18h avec le tirage au sort de la tombola : un tableau d'un peintre haïtien (ci-dessous) est à gagner !

L’Association pour la Promotion des Arts du Monde (A.P.A.M.), qui nous propose  ces œuvres, finance depuis 1988 trois écoles de quartiers populaires en Haïti, pays de chaos où règne l’illettrisme. Comme un défi à sa propre misère, ce peuple chaleureux a développé une activité artistique foisonnante, pour devenir un véritable « peuple de peintres » comme disait Malraux. L’APAM nous offre l’accès à cet art haïtien remarquable,  par des expositions dont la totalité des recettes est dédiée au financement des écoles haïtiennes, démarche originale qui met l’ART au service de l’HUMANITAIRE. 

Vernissage de l'exposition de Robert JORDA

Le vernissage de l'exposition photographies des Pyrénées de Robert JORDA s'est déroulé dans la bonne humeur vendredi 5 novembre.

ROBERT JORDA partage ses semaines entre Toulouse, où il travaille, et Pierrefitte-Nestalas (Hautes-Pyrénées) où il retrouve la montagne.

Cela fait plus de trente ans qu’il arpente les sentiers de toute la chaîne des Pyrénées, un appareil photo entre les mains.

Il a collaboré une dizaine d’année à Pyrénées magazine.

Il a également publié « Les plus beaux lacs des Pyrénées » aux éditions Glénat, en 2008, avec Alain Bourneton, bibliophile, spécialiste du livre ancien pyrénéen qui a contribué par ses écrits à faire partager sa passion pour cette chaîne de montagnes.

L’association l’Abbadiale est heureuse d’accueillir la première exposition de photographies de Robert Jorda.

Vernissage de l'exposition de Margot MALDONADO

Vendredi 17 septembre a eu lieu le vernissage de l'exposition de gravures de Margot MALDONADO.

LIMITES Y CONTINUIDAD

“Dans ce projet, j’ai voulu expérimenter à travers de la matière, des faits de la vie quotidienne.

J’ai voulu mettre de façon spontanée des limites dans différents endroits de la plaque, en utilisant des solvants dosés, pour qu’ils réagissent en donnant du mouvement à l’intérieur des taches d’encre.

Les couleurs proches ont commencé à se mélanger, les taches liquides ont continué à se déplacer, d’un endroit  à l’autre de la plaque en cherchant à s’échapper, retrouvant ainsi les limites créées avec des couches épaisses et denses d’encre.

Une fois les taches d’encre encerclées par des barrières, elles ont commencée à bouillir, à déborder, permettant ainsi de créer des zones dispersées, très fluides et d’autres très pures.

Après, les lignes et les couches d’encre, qui sont restées sur la plaque, ont été balayées et étalées avec beaucoup de pression.

Souvent la façon de réagir et d’interpréter les faits réels est conditionné.

De la même façon dans l’oeuvre la limite a été tracée d’avance : dans le choix du format, des outils qui vont intervenir dans l’exécution,  dans le temps de séchage, dans le choix des solvants, dans le temps de réalisation du processus d’impression. Tout compte dans la finition qui a été donnée a chaque ouvrage.”

Margot MALDONADO

Vernissage de l'exposition de René Vidal

Vendredi 6 août, vernissage de René Vidal sculpteur.

"La pierre qu'a rapportée René de chaque sommet sert de pièce à conviction, comme l'élément d'encrage. Autour d'elle s'organise le souvenir oculaire (un profil de crête, la verticalité d'une face, des restes de topographie) et la vision intérieure (l'univers personnel, ses objets fétiches et symboliques) : élaboration de l'unique. L'unité du massif ou de la cime, celle de la course et la prédominance du bois polychrome donnent cohérence à un assemblage où les matériaux les plus divers trouvent une justification." 

Hélène SAULE SORBE (peintre)

Vernissage de l'exposition de Michel GLOAGUEN et de Françoise GOURVES

Le vernissage de Michel GLOAGUEN, sculpteur sur bois, et de Françoise GOURVES, verrier en vitrail, a eu lieu le jeudi 8 juillet. L'exposition s'est déroulée dans la salle hors sac au col de Couraduque (Aucun).

    

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Exposition sur le thème : Intimités.

Exposition de 9 tableaux-sculptures associant le bois et le verre.
Michel GLOAGUEN, qui utilise diverses essences de bois dans ses représentations de couples, a imaginé ce concept de tableau-sculpture.
Françoise GOURVES a enrichi le tableau par une composition colorée constituée de verres de grande qualité.
Du 8 Juillet au 22 Août 2010 au col de COURADUQUE (AUCUN 65400 )
Du 3 au 29 Septembre 2010 à la galerie l'IF ' bd de la Liberté (ELNE  66200 )

Préface du catalogue de Michel GORSSE (poète catalan) :

"C'est du brut
que nous offre Michel GLOAGUEN pour fêter ses 69 printemps
du millésimé.

C'est moins la mémoire du kama-sutra que le coquin revisite
que la mémoire des étreintes
de nos étreintes humaines
charnelles
celles qui font barrage à la lassitude en nous donnant des forces
celles qui nous propulsent sur des cimes évanescentes
où tout notre être chancelle.

Par les formes et les couleurs si le gaillard nous invite à quelque chose
ce n'est certainement pas à nous rincer l'oeil.
Son projet n'est pas le fantasme
mais la fraternité des émotions
la communauté de l'intime
ce qui est en nous
au-delà de toutes les apparences.

Ici
s'il y a des dessous
ce sont les dessous de l'âme."

Michel GORSSE

Vernissage de l'exposition de Caroline FRANCOIS-RUBINO

Le vendredi 9 juillet a eu lieu le vernissage de l'exposition de Caroline FRANCOIS-RUBINO.

L’œuvre de Caroline François-Rubino tout en s’inscrivant dans la tradition picturale propose une démarche de création tout à fait contemporaine.

Son intérêt pour la perception de l’espace et sa traduction en deux dimensions oriente ses recherches sans cesse renouvelées autour de la fenêtre comme cadre, réseau ou écran.
Sa passion pour le paysage et son désir de rendre manifeste le passage du temps l’amènent à diversifier ses toiles qu’elle présente souvent en diptyques ou en triptyques.
L’idée de série est présente sans toutefois devenir un procédé.

Son langage pictural tire son origine des lumières des teintes et des matières, mais aussi des vides, des silences et des passages inachevés encore en devenir.
Le dessin, compagnon de toujours, et la pratique régulière de l’aquarelle l’aident dans ce cheminement vers une peinture qui montre ce qu’elle est depuis la toile vierge jusqu’à des effets de transparence qui évoquent le rêve d’un rêve.
Ainsi, même dans ses peintures à l’huile, l’aspect graphique demeure et l’eau qui a véhiculé les pigments de ses aquarelles semble vouloir encore s’y diffuser.
Caroline François-Rubino dit « peindre ce qu’elle ne pourrait photographier » : un nouvel espace aux multiples sentiers pour le parcourir ou y passer du temps.